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A la une: Evi positif en ce qui concerne les obligations des pays émergents

In de kijker: Tijd om de beurs te verlaten of tijd om koopjes te doen
Offert par F. van Lanschot Bankiers N.V.

Evi et F. Van Lanschot Bankiers restent prudents en ce qui concerne les actions maintenant que les activités économiques au niveau mondial augmentent plus lentement que durant les dernières années. En matière d’obligations, ils préfèrent les prêts aux entreprises et les titres provenant des marchés émergents.  

Au mois de juillet, les cours des actions ont été soutenus par la publication de résultats d’exploitation meilleurs que prévus pour le 2ème trimestre. La politique des banques centrales, qui sont prêtes à soutenir l’économie davantage (au besoin), a également apporté un ballon d’oxygène supplémentaire. Aux Etats-Unis, où la ‘Federal Reserve’ a réduit ses taux de 0,25%, cela a même résulté en des niveaux records pour l’indice boursier S&P500.    

Toutefois, la prudence s’impose. Ainsi, la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine laisse ses traces au niveau mondial. Cela explique en partie pourquoi les prévisions relatives à la croissance économique pour cette année-ci et pour l’année prochaine sont légèrement inférieures à la croissance que nous avons connue l’année dernière.

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Dès lors, Evi et F. Van Lanschot Bankiers préfèrent être plus prudents en ce qui concerne les actions. D’ailleurs, c’est déjà le cas depuis la fin du mois de mai, lorsque la vision sur les bourses avait été revue à la baisse.  

Ceci ne signifie pas que les actions soient entièrement bannies. Les dividendes restent intéressants et il est encore toujours question d’une croissance économique, même si celle-ci est moindre qu’auparavant. On ne s’attend pas à une récession durant les 12 premiers mois.

Lors des explications concernant la décision de la Banque Centrale Américaine de réduire ses taux, le président Jerome Powell a décrit cette décision comme une adaptation 'mid cycle'. En langage normal, cela signifie que la croissance économique aux Etats-Unis stagne temporairement et doit donc être soutenue (mais pas plus que cela). Cette réduction n’a pas introduit une nouvelle série de baisses.   

Dans la zone euro, l’évolution de l’indice, qui reflète la tendance auprès des directeurs d’achats, a démontré un nouvel affaiblissement de la croissance économique dans les secteurs industriels. Toutefois, le principal secteur des services se défend courageusement. Il ne semble pas encore s’affaiblir. Au mois de juillet, la confiance des consommateurs a même augmenté.    

Au cas où l’économie dans la zone euro se détériorerait davantage, la Banque Centrale Européenne pourra lui venir en aide. Tout comme le président sortant Mario Draghi, la nouvelle présidente Christine Lagarde est connue comme une grande partisane d’une politique monétaire étendue afin de raviver l’économie de la zone euro. 

 

En matière d’obligations, Evi et F. Van Lanschot restent surtout positifs en ce qui concerne les prêts provenant des pays émergents. Depuis le début de l’année 2019, elles ont déjà obtenu un rendement de 12,7%. Par ailleurs, ils sont neutres en ce qui concerne les obligations d’entreprise étant donné que la Banque Centrale Européenne a laissé la porte ouverte pour acheter des prêts à nouveau. En ce qui concerne les obligations avec un taux d’intérêt élevé, Evi et Van Lanschot sont très réticents. Les risques qui y sont liés, sont trop élevés. Finalement, les obligations d’état des marchés matures ne se trouvent plus à la première place.

 

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Cet article n'est pas un éditorial, mais un article publicitaire et a été réalisé grâce à la collaboration entre F. van Lanschot Bankiers N.V. et Guide-épargne.be

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